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Sept. 19, 2022

Celebrating European Culture

International students embrace European home countries from abroad

Although thousands of miles away, a small piece of Europe can be found in the middle of the U.S. Athens, sharing a name with its Greek sister city, may not have quite the same culture as its counterpart across the Atlantic, but is still home to many proud Europeans.

Greece is not the only European country with a culture worth celebrating and studying. To emphasize the difference and similarities between the member states, the Council of Europe initiated the European Heritage Days.

Every year in September, the 50 countries of the European Cultural Convention participate in the popular festivities of the European Heritage Days. This year, Europeans are gearing up to celebrate their roots under the theme of Sustainable Heritage from Sept. 10 to Sept. 18.

While the events around the European Heritage Days are an ocean away, some of its spirits are present at Ohio University. According to OU's fast facts page, OU students and staff represent 116 countries around the world.

With international students from all over the world diving headfirst into a new, multicultural lifestyle at OU, three master's students from across Europe said there are a number of ways they stay connected to their home countries.

Anastasiia Sakharova, a master's student from Ukraine studying Latin American Studies, took up her scholastic path through the Ohio University Center for International Studies to follow her passion for Spanish and Latin American culture.

Similarly, getting closer to his interests also motivated Andreas Joergensen from Denmark, a graduate student studying American Studies in Odense and spending a semester abroad at OU.

Florian van Dongen is from the Netherlands and came to OU to pursue a double master's degree in Business Administration and Sports Administration. While most countries stick to the name European Heritage Days for celebrating European culture, the Netherlands belongs to the few countries using their own language, showcasing everything Dutch during the "Open Monumentendag."

Though very different places, the one thing they all have in common is a universal language, music.

"I listen to songs in Ukrainian," said Sakharova, who also sings in her free time. "It really makes me feel like I'm home."

Hearing their native language creates a sense of comfort for the international students and sometimes, even a newfound appreciation is sparked.

"I've actually started to listen to more Danish music than I did when I was back in Denmark," Joergensen says.

They all noticed pretty quickly there were few to no other students from their home countries at OU, which urged them to find a different connection to home.

"I actually never was connected to any Ukrainians (on campus) before the war started," said Sakharova, who now organizes events to collect money and supplies for the Ukrainian front lines with her newfound group of fellow Ukrainians.

Language is an important topic for international students and a huge part of their national identity. To van Dongen, that might not be the only difference but is for sure the biggest. However, assimilation has come quickly.

Adding to that, Joergensen says: "When I start to speak Danish again with my family, it's always kind of weird.” Since he now predominantly uses English in his daily life.

Since Joergensen and van Dongen do not know other bobcats from their home countries, they rely on media from home and call their families and friends.

"I keep in touch with my family regularly," van Dongen said. "I try to call them as much as possible and send some pictures of what I'm doing here."

This also helps with feeling less homesick and staying connected with his roots.

"I have a VPN server which makes it possible to still watch Dutch television," said van Dongen.

"It is important to me to know what's going on in the news and politics. Even the weather is important for me." —Florian van Dongen, a graduate student from the Netherlands

While new traditions arise, old ones are left behind. For the first time in his life, Joergensen does not visit his local soccer team's home games, missing out on his grandparents' traditional foods that accompany the event. Trying to keep up the culinary connections is vital for most international students. Sakharova and van Dongen said buying food from home is crucial, and they are always looking out for local products.

"I literally (just) bought some beers that are from very close to where I live," van Dongen says. "In those small ways you try to stay in touch with what you're used to back home."

They all found ways to stay connected to their heritage in their new home away from home. Even though life in Athens is different to what they were used to before, it's full of exciting new possibilities to dive into.

COPY EDITOR: Aya Cathey
ILLUSTRATION: Lauren Adams
WEB DEVELOPMENT: Jack Hiltner

19 Septembre, 2022

Fêtant la culture européene

Les étudiants internationaux embracent leurs pays européens de l’étranger

Bien qu’elle soit à des milliers de kilomètres, un petit morceau de l’Europe peut être trouvé au milieu des États-Unis. Athens, partageant un nom avec sa ville soeur grecque, ne peut pas avoir exactement la même culture que son équivalent, mais elle abrite de nombreux européens fières.

La Grèce n’est pas le seul pays européen avec une culture qui mérite la célébration. Pour mettre l’accent sur les différences et les similarités entre leurs membres, le Conseil de l’Europe a lancé les Journées Européens du Patrimoine.

Tous les ans en septembre, les cinquante pays qui font partie de la Convention culturelle européenne participent dans les festivités des Journées Européennes du Patrimoine. Cette année, les européens se préparent pour fêter leurs racines sur le thème de l'héritage durable du 10 septembre au 19 septembre.

Bien que les événements des Journées Européennes du Patrimoine soient à travers l’océan, certains de leurs esprits sont toutefois présents à l’université. Selon le site web de l’université, les étudiants et la faculté représentent au totale 116 pays.

Avec des étudiants internationaux de partout dans le monde plongeant la tête la première dans un nouveau mode de vie multiculturel, trois étudiants à la maîtrise de l’Europe ont dit qu’il y a des nombreuses façons de rester connectés avec leurs pays d’origine.

Anastasiia Sakharova, une étudiante de maîtrise de l’Ukraine qui étudie les études de l’Amérique latine, a pris son chemin scolaire par le centre des études internationaux afin de suivre sa passion pour l’espagnol et la culture latine-américaine

De même, l’opportunité de s’approcher de ses intérêts a motivé Andreas Joergensen de Danemark, un étudiant de maîtrise qui étudie les études américaines à Odense et qui passe un semestre à Athens.

Florian van Dongen vient des Pays-Bas et est venu pour poursuivre une double maîtrise en commerce et adminstration sportive. Bien que la plupart du pays préfèrent utiliser le nom des European Heritage Days pour fêter leur culture, les Pays-Bas appartient aux plusieurs pays qui utilisent leur propre langue, démontrant tout qui est typiquement néerlandais pendant le “Open Monumentendag.”

Même qu’ils soient des pays très différents, la seule chose qu’ils ont tous en commun est la langue universelle, la musique.

“J’écoute des chansons en ukrainien,” dit Sakharova, qui aussi chante dans son temps libre. “Je me sens comme chez-moi.”

Écouter leur langue native crée un sens de réconfort pour les étudiants internationaux, et parfois, même une nouvelle appréciation est découverte.

“En fait, j’ai commencé à écouter plus la musique danoise qu’auparavant.” dit Joergensen.

Ils ont tous vite remarqué qu’il y avait très peu d'étudiants de leurs pays d’origine à l’université, ce qui les a poussés à trouver une autre connexion de chez-eux.

“Je n’étais jamais connecté des ukrainiens (sur le campus) avant le commencement de la guerre,” dit Sakharova, qui organise maintenant des événements pour collecter d’argent et des fournitures pour le front ukranien avec son nouveau groupe de copains ukrainians.

La langue est un sujet important pour les étudiants internationaux et une grande partie de leur identité nationale. Pour Joergensen, c’est peut-être pas la seule différence, mais c’est bien la plus grande. Toutefois, l’assimilation est venue rapidement.

“Quand je commence à parler le danois encore avec ma famille, c’est toujours un peu bizarre,” dit Joergensen, qui utilise maintenant principalement l’anglais dans sa vie quotidienne.

Puisque Joergensen et van Dongen ne connaissent pas des Bobcats de leurs pays d’origine, ils dépendent sur la média et les appels avec la famille et les amis.

“Je parle à ma famille régulièrement," dit van Dongen. “J’essaye de les appeler autant que possible et d’envoyer des photos de ce que je fais ici.”

Ça aide aussi avec des sentiments de mal du pays et pour rester connecté avec ses racines.

“J’ai un VPN, qui le fait possible de regarder la télé néerlandaise,” dit van Dongen. “C’est important pour moi de savoir ce qui arrive dans les nouvelles et en politique. Même le temps est important pour moi.”

Lorsque les nouvelles traditions surviennent, les vieilles sont abandonnées. Pour la première fois dans sa vie, Joergensen ne visite pas les jeux de son équipe de foot locale, manquant la nourriture traditionnelle de ses grands-parents qui accompagne l’événement. Essayant de maintenir ses connexions culinaires est essentiel pour la plupart des étudiants internationaux. Sakharova et van Dongen ont dit qu’acheter la nourriture de chez-eux est vital, et ils font toujours attention aux produits locaux.

“De vrai, je viens d’acheter des bières qui viennent de très près d’ou je vis (en Danemark),” dit van Dongen. “Dans ces petites façons, on essaye de rester en contact avec ce qu’on est habitué chez-soi.”

Ils ont tous trouvé des façons de rester connectés avec leur héritage dans leur nouvelle maison loin de chez-eux. Bien que la vie à Athens est différent de ce qu’ils ont été habitués, c’est aussi pleine de nouvelles possibilités pour plonger dedans.

ÉDITEUR DE COPIE: Aya Cathey
ILLUSTRATRICE: Lauren Adams
TRADUIRE: Lydia Smith
DÉVELOPPEMENT WEB: Jack Hiltner

19. september 2022

Feire Europeisk Kultur

Europeiske Studenter Feirer Europeiske Kulturdager i USA

Selv om det er tusenvis av mil unna, kan et lite stykke Europa bli funnet midt i USA, i Athens, som deler navn med sin greske søsterby, har kanskje ikke helt den samme kulturen som sin motpart over Atlanterhavet, men er fortsatt hjemsted for mange europeere.

Hellas er ikke det eneste europeiske landet med en kultur verdt å feire og studere. For å understreke forskjellene og likhetene mellom medlemslandene, initierte Europarådet de europeiske kulturarv dagene.

Hvert år i September deltar de 50 landene i den europeiske kultur konvensjonen i de populære festlighetene til de europeiske kulturarv dagene. I år ruster europeerne seg til å feire sine røtter under temaet <<Sustainable Heritage>> fra 10. september til 18. september.

Mens begivenheter rundt European Heritage Days er et hav unna, er noen av åndene til stede ved Ohio University. I følge OUs raske faktaside representerer OU-studenter og ansatte 116 land rundt om i verden.

Med internasjonale studenter fra hele verden som først “dykker med hodet” inn i en ny, flerkulturell livsstil ved OU, tre masterstudenter fra Europa sa at det er en rekke måter de holder kontakten med hjemlandet på.

Anastasiia Sakharova, en masterstudent fra Ukraina som studerer latinamerikanske studier, tok opp sin skolastiske vei gjennom Ohio University Center for International Studies for å følge lidenskapen hennes for spansk og latinamerikansk kultur.

På samme måte har det motivert Andreas Joergensen fra Danmark, en doktorgradsstudent som studerer amerikanske studier i Odense, å komme nærmere hans interesser ved tilbringe et semester i utlandet ved OU.

Florian van Dongen er fra Nederland og kom til OU for å ta en dobbel mastergrad i Business Administration og Sports Administration. Mens de fleste land holder seg til navnet European Heritage Days for å feire europeisk kultur, tilhører Nederland de få landene som bruker sitt eget språk, og viser alt nederlandsk under "Open Monumentendag".

Selv om de er svært forskjellige steder, er det en ting de alle har til felles, et universalt språk, musikk.

"Jeg hører på sanger på ukrainsk," sa Sakharova, som også synger på fritiden. "Det får meg virkelig til å føle at jeg er hjemme."

Å høre morsmålet deres skaper en følelse av trøst for de internasjonale studentene, og noen ganger utløses til og med en nyvunnet takknemlighet.

"Jeg har faktisk begynt å høre på mer dansk musikk enn jeg gjorde da jeg var i Danmark," sier Jørgensen.

De la alle ganske raskt merke til at det var få eller ingen andre studenter fra deres hjemland ved OU, noe som oppfordret dem til å finne en annen tilknytning til hjemmet.

"Jeg var faktisk aldri koblet til noen ukrainere (på campus) før krigen startet," sa Sakharova, som nå organiserer arrangementer for å samle inn penger og forsyninger til de ukrainske frontlinjene med sin nyfunne gruppe medukrainere.

Språk er et viktig tema for internasjonale studenter og en stor del av deres nasjonale identitet. For van Dongen er det kanskje ikke den eneste forskjellen, men det er helt klart den største. Assimileringen har imidlertid kommet raskt.

I tillegg sier Jørgensen: "Når jeg begynner å snakke dansk igjen med familien min, er det alltid litt rart." Siden han nå hovedsakelig bruker engelsk i hverdagen.

Siden Jørgensen og van Dongen ikke kjenner andre bobcats fra sine hjemland, stoler de på media hjemmefra og ringer familiene og vennene sine.

"Jeg holder kontakten med familien min regelmessig," sa van Dongen. — Jeg prøver å ringe dem så mye som mulig og sende noen bilder av det jeg gjør her.

Dette hjelper også med å føle mindre hjemlengsel og holde kontakten med røttene sine.

"Jeg har en VPN-server som gjør det mulig å fortsatt se nederlandsk TV," sa van Dongen. "Det er viktig for meg å vite hva som skjer i nyhetene og politikken. Selv været er viktig for meg."

Mens nye tradisjoner oppstår, blir gamle etterlatt. For første gang i livet besøker ikke Jørgensen hjemmekampene til det lokale fotballaget, og går glipp av besteforeldrenes tradisjonelle mat som følger med arrangementet. Å prøve å opprettholde de kulinariske forbindelsene er viktig for de fleste internasjonale studenter. Sakharova og van Dongen sa at det er avgjørende å kjøpe mat hjemmefra, og at de alltid ser etter lokale produkter.

"Jeg har bokstavelig talt (bare) kjøpt øl som er fra veldig nært der jeg bor," sier van Dongen. "På de små måtene prøver du å holde kontakten med det du er vant til hjemme."

De fant alle måter å holde kontakten med arven sin i sitt nye hjem borte fra hjemmet. Selv om livet i Athens er annerledes enn det de var vant til før, er det fullt av spennende nye muligheter å utforske.

KOPIERINGSREDIGERING: Aya Cathey
ILLUSTRATØR: Lauren Adams
OVERSETTE: Maia LeClair
WEBUTVIKLER: Jack Hiltner

Der 19. September 2022

Europäische Kultur feiern

Internationale Studierende zelebrieren ihre europäischen Heimatländer aus dem Ausland

Obwohl tausende von Kilometern entfernt, befindet sich ein kleines Stück Europa mitten in den USA. Athens, das sich im Englischen den Namen mit seiner griechischen Schwesterstadt Athen teilt, hat vielleicht nicht ganz die gleiche Kultur wie sein Pendant jenseits des Atlantiks, ist aber dennoch die Heimat vieler stolzer Europäer*innen.

Griechenland ist nicht das einzige europäische Land mit einer Kultur, die es wert ist, gefeiert und studiert zu werden. Um die Unterschiede und Gemeinsamkeiten zwischen den Mitgliedstaaten hervorzuheben, hat der Europarat die European Heritage Days ins Leben gerufen.

Jedes Jahr im September nehmen die 50 Länder des Europäischen Kulturabkommens an den beliebten Feierlichkeiten, in Deutschland Tag des offenen Denkmals genannt, teil. In diesem Jahr haben die Europäer*innen vom 10. bis 18. September ihre Wurzeln unter dem Motto “Sustainable Heritage” (Nachhaltiges Erbe) gefeiert.

Während die Veranstaltungen rund um die European Heritage Days einen Ozean entfernt sind, ist ihr Geist auch an der OU präsent. Laut der OU Fast Facts Website kommen Studierende und Mitarbeitende aus 116 Ländern an der Universität zusammen.

Internationale Studierende aus aller Welt stürzen sich an der OU kopfüber in ein neues, multikulturelles Leben. Drei Masterstudierende aus Europa berichten, wie sie auf verschiedene Weise mit ihren Heimatländern verbunden bleiben.

Anastasiia Sakharova, eine Masterstudentin aus der Ukraine, studiert Lateinamerikanistik. Sie hat ihren akademischen Weg über das Ohio University Center for International Studies eingeschlagen, um ihrer Leidenschaft für Spanisch und lateinamerikanische Kultur nachzugehen.

Auch Andreas Joergensen aus Dänemark, der Amerikanistik in Odense studiert und ein Auslandssemester an der OU absolviert, wollte damit seinen Interessen näher kommen.

Florian van Dongen aus den Niederlanden kam an die OU, um einen doppelten Masterabschluss in Betriebswirtschaftslehre und Sportmanagement zu absolvieren. Während sich die meisten Länder unter dem Namen European Heritage Days feiern, gehören die Niederlande zu den wenigen Ländern, die ihre eigene Sprache verwenden und während des "Open Monumentendag" alles Niederländische präsentieren.

Doch so unterschiedlich die Länder auch sind, eines haben sie alle gemeinsam: eine universelle Sprache, die Musik.

"Ich höre mir Lieder auf Ukrainisch an," sagt Sakharova, die in ihrer Freizeit auch selber singt. "Das gibt mir das Gefühl, zu Hause zu sein.”

Ihre Muttersprache zu hören, gibt den internationalen Studierenden ein Gefühl der Geborgenheit, und manchmal wird sogar neue Wertschätzung geweckt.

"Ich habe angefangen, mehr dänische Musik zu hören als in Dänemark," sagt Joergensen.

Da es an der OU nur wenige oder gar keine anderen Studierenden aus ihren Heimatländern gibt, mussten andere Verbindungen zu ihrer Heimat gefunden werden.

"Bevor der Krieg begann, hatte ich eigentlich keinen Kontakt zu Ukrainern (auf dem Campus)," sagt Sakharova, die jetzt mit ihrer neu gefundenen Gruppe von ukrainischen Kommilitonen Veranstaltungen organisiert, um Geld und Hilfsgüter für die ukrainische Front zu sammeln.

Sprache ist ein zentrales Thema für internationale Studierende und ein wichtiger Teil ihrer nationalen Identität. Für van Dongen ist das vielleicht nicht der einzige, aber mit Sicherheit der größte Unterschied. Die Umgewöhnung ging jedoch schnell.

Joergensen fügt hinzu: “Wenn ich anfange, mit meiner Familie wieder Dänisch zu sprechen, ist das immer etwas seltsam," weil er im Alltag jetzt überwiegend Englisch spricht.

Da Joergensen und van Dongen keine anderen Bobcats aus ihren Heimatländern kennen, verlassen sie sich auf die heimischen Medien und rufen Familie und Freunde an.

"Ich stehe regelmäßig mit meiner Familie in Kontakt," sagte van Dongen. "Ich versuche, sie so oft wie möglich anzurufen und schicke ihnen Bilder von dem, was ich hier mache."

Das hilft auch dabei, weniger Heimweh zu haben und mit seinen Wurzeln verbunden zu bleiben.

"Ich habe einen VPN-Server, mit dem ich niederländisches Fernsehen gucken kann," so van Dongen. "Es ist mir wichtig zu wissen, was in den Nachrichten und in der Politik passiert. Sogar das Wetter ist für mich wichtig."

Während neue Traditionen entstehen, werden alte zurückgelassen. Zum ersten Mal in seinem Leben besucht Joergensen nicht die Heimspiele seiner Fußballmannschaft und verpasst damit das traditionelle Essen seiner Großeltern, das diese Veranstaltung begleitet. Der Versuch, die kulinarischen Verbindungen aufrechtzuerhalten, ist für die meisten internationalen Studenten essenziell. Für Sakharova und van Dongen sind Lebensmittel aus der Heimat sehr wichtig, weswegen sie immer nach lokalen Produkten Ausschau halten.

"Ich habe tatsächlich (gerade) Bier gekauft, das aus der Nähe meines Wohnortes stammt," sagt van Dongen. "Durch solche Kleinigkeiten versucht man, mit dem in Kontakt zu bleiben, was man von zu Hause gewohnt ist.”

Sie alle haben Wege gefunden, in ihrer neuen Heimat die Verbindung zu ihrer Herkunft aufrechtzuerhalten. Denn auch wenn das Leben in Athens anders ist als das, was sie bisher gewohnt waren, bietet es doch eine Fülle neuer Möglichkeiten.

REDAKTEURINNEN: Katie Millard, Alyssa Cruz
REDAKTEUR: Aya Cathey
ILLUSTRATORIN: Lauren Adams
WEB-ENTWICKLER: Jack Hiltner